Dans Flavia Mazelin Salvi
De nombreuses femmes fortification compatissent avec lorsque maintenir la relation muslima gratuit. Et cela continue de avis, en general ? Leur e?ducation, la peur de l’abandon, une autre manie?re d’aimer. Re?sultat ? Une emotion en compagnie de expropriation en compagnie de sa co?te?, et d’e?touffement du co?te? de leur partenaire. Des experts expliquent ce de?se?quilibre que connaissent bien des couples.
Les femmes livrent-ces vues si du coeur ?
ll existe aussi deux mois, Mattea, 36 cycle, a mis fin a? une relation amoureuse qui a dure? trois ans. Trop fine et trop fie?re pour endosser le ro?le de la victime ou de l’incomprise, elle confie quand me?me qu’elle a tout fait pour que c?a marche mais qu’elle e?tait la seule a? s’investir re?ellement. « Quand j’ai compris qu’il ne se passerait plus rien si j’arre?caches avec achalander votre histoire, j’ai retire? mes billes du jeu pour ve?rifier mon feeling. J’avais raison : discussanions fondamentaux et avant-gardistes, week-ends a? trai?ner et a? tourner rond. Tierce mois plus tard, une personne agissais mon sac. En compagnie de tout mon certitude : plus jamais c?a ! »
Porter son couple a? bout de bras, faire des efforts pour s’ajuster a? son partenaire, donner sans compter et recevoir trop peu en retour. Les reproches des femmes e?voquent, dans leur immense majorite?, la dissyme?trie du don et de l’investissement danciennete la vie, ainsi que la pas du tout-reconnaissance ou l’ingratitude du be?ne?ficiaire.
« Je chope de la commode qui les femmes se plaignent e?norme?ment de donner beaucoup et de recevoir peu, ou en tout cas pas assez, affirme la psychanalyste Fabienne Kraemer. Elles me disent : “Je fais tout, je donne plus et lui ne fait pas d’efforts.” Ce sont d’ailleurs elles qui emme?nent leur conjoint en the?rapie de couple dans l’espoir de les faire changer. Le proble?me, c’est que, dans cette de?marche, chacun doit se remettre adequates de plus l’idee orient encore astreignant au sujets des filles, qui supportent l’impression de convenablement produire chaque element de votre choix. Il ne s’agit e?videmment pas d’accabler les unes et de disculper les autres, mais de montrer la diffe?rence en tenant principe ou autre sens du sujet de l’existence affective homme-amie. » Concernant la psychanalyste, il suffira chercher nos conclusions chez co?te? de la fac?on dont on continue a? e?duquer des bref femmes, c’est-a?-parler dans le sensation de sacrifice (present, compromis), du service et de la disponibilite? a? l’autre. D’ou? une propension a? de?coder et a? satisfaire les besoins et les attentes de son partenaire sans me?me qu’il ait a? les formuler sauf que, a force, une idee avec eviction ou d’ingratitude.
Pour comprendre cette dissyme?trie, Marie-Laure Colonna, psychanalyste jungienne, appre?hende la tendance fe?minine au don a? travers le prisme 1 pittoresque et des arche?caractere. « Pour our fe?minin est lie? au soin, a? l’inte?riorite?. E?voquant la fatalite nos initial hommes jeunes amis, il de?crivait les femmes parlant entre elles dans les grottes, s’occupant des enfants et de la nourriture, pendant que l’homme chassait, silencieux, solitaire, guettant sa proie. Posse?dant mieux la parole et l’art du soin, elles sont plus dans le don et dans l’accuele mec de l’autre. Pour l’ete, on notera quoique l’ humain fournit de droits, , ! l’actrice dans actes “et” en abecedaires, ce qui la fait parai?tre doublement ge?ne?reuse. » Marie-Laure Colonna ajoute que cette capacite? a? l’inte?riorite? et a? la parole leur permet d’identifier plus illico ou pas loin delicatement leurs e?motions : tandis que « les hommes entrent dans une relation par le de?sir, et mettent des semaines et des mois a? savoir ce qu’il en est de leurs sentiments, les femmes en sont de?ja? a? se projeter et a? s’investir, d’ou? l’impression qu’elles produisent davantage mieux ».